C'était dans la nuit du 1er au 2 octobre, vers minuit, l'ennemi a essayé de nous surprendre dans nos tranchées, nous étions à genoux ; comme il était impossible de tirer dans cette position, on nous fit mettre debout ; ayant placé ma main sur l'avant de la tranchée, j'ai "était" atteint au petit doigt de la main gauche. J'ai prévenu le chef de section qui m'a dit d'aller me faire panser ; ensuite, je me suis rendu au poste de secours de mon régiment qui m'a envoyé à la division. Laurent François |